Le secret de la création n'est difficile a expliquer. écoutez, Si un jour vous creusez au profond de votre esprit, Peut être vous comprendrez la vie. Il n'y a de début sans fin, Sinon il n'existerait rien ? Imaginez, Si un jour ...durerait l'éternité On marcherait , marcherait , marcherait S'arrêter.Non, jamais. On ne verrait notre point d'arriver Puisqu'on resterait sur Terre toute l'éternité. A force de coexister, nous ne pourrions plus aimer. Et nous serions tous pareils alors plus aucune merveilles. Que le monde serait ennuyeux plus personne d'heureux. encore on aura tout vu, tout entendu, plus de secret plus aucun aspect Plat, ne la qualifierait pas. Synthétisez, Si vous m'avez écoutez et imaginez ce monde soit disant de fées Vous direz alors :la mort c'est la beauté de notre monde ,la seule vérité. Le moteur de nos coeur C'est la différence, la diversité ,l'ambiance... Vivez alors votre vie comme aucun autres et alors vous viendra l'envi. Soyez différent, distinguez-vous faites que le monde tourne autour de vous que le monde garde une image de vous Car c'est VOUS Ce petit vous ce grain de vous dans cette univers chaotique et INFINIMENT gigantesque et tellement grotesque c'est vous et seulement vous qui faites que le monde soit tellement intéressant. MAIS Quand même Restez vous même. N'ayez pas peur le moment venu accueillez la mort non pas comme une inconnue mais comme une amie, une genre de fille d'utopie. Amusez-vous ,Profitez car il faut que vous sachiez: Que le temps est en train de s'ecouler Que le temps Le temps passe Et me dépasse. Coule et se moule. On ne l'entend mais on le ressent. Infinie Néant, Nous l'imaginons encore plus grand. Il ronge la vie, Il créer l'ennuie. Il tue sans aucun soucis, Car avec lui vient l'oublie. Plus rare que l'or, Il me dévore. Je me soumet, je me tait Car un jour Il m'emportera a jamais. ET QUE LA VIE EST QUELQUE FOIS MÉCHANTE La vie n'est qu'un fil Entre les mains d'un Vil N'épargnant personne , aucun homme. Un jour, une nuit. Le bien , le mal. La solitude des jours de pluie, Ou tout parait sale . Mon ombre me suit Même la nuit quand je sombre dans l'oublie. Je soufre, je souffle. Le crépuscule, me brûle. Une vie comme une mule. O, Créateur, Ne me laisse pas en pleur. Ton jugement s'étend, Se dissipe comme le vent,Comme la vie Qui me rend si mélancolique,ou alcoolique. Je réfléchis,je risque l'oublie. Vie si pénible, fil coupé, Tout est abandonné. Comme le soleil se couchant l'été Rouge ,Sang coulant dans mes veines Comme la haine,Qui me hante de peine. Je couperai ce fil de mon seul pouvoir d'homme Avec la fierté des gladiateur de Rome. Patrick Louis